Résumé
Il ne fait aucun doute que les marchés financiers ont réagi de façon spectaculaire à la propagation du coronavirus. L’indice « VIX », à juste titre appelé « indice de la peur » et qui mesure les fluctuations des cours (volatilité) sur le marché boursier américain, a atteint le niveau record de 80, dépassant même son pic de la crise financière. Le marché d’actions américain a enregistré sa plus forte perte sur une journée depuis 30 ans.
- Restez rationnel pour éviter toute réaction excessive.
- Apprenez à vous connaître... puis surpassez-vous !
- Réfléchissez à l’allocation stratégique actuelle de vos investissements.
- Prenez également en compte les critères de durabilité.
Le virus se propage et, en parallèle, des contre-mesures monétaires et budgétaires sont mises en place à travers le monde. En tant qu’investisseurs, nous devons donc être conscients de notre position afin de préparer une réponse mûrement réfléchie. Pour vous aider, nous avons formulé quelques analyses fondées sur la finance comportementale, car la peur et la panique sont généralement les plus mauvaises conseillères.
Humain, trop humain
Avoir peur est humain, trop humain. L’étape suivante est la panique. Le dictionnaire Duden définit la panique comme « une peur écrasante provoquée par une menace ou un danger soudain, qui paralyse la capacité de penser et conduit à réagir de manière imprudente ». Pour éviter la zone de danger, il faut savoir reconnaître le danger, mais sans le laisser nous contrôler. Il faut penser de manière rationnelle. C’est là que la finance comportementale peut aider. En effet, tout se passe dans le cerveau, et plus précisément, dans ses parties les plus importantes et au niveau des interactions entre celles-ci.
 |
Pour en savoir plus et consulter l'intégralité de l'article au format pdf |
Nos publications récentes
Résumé
Les marchés asiatiques ont évolué en dents de scie au premier trimestre, en raison principalement de l’impact de l’épidémie de coronavirus. Certains signes laissent toutefois penser qu’un redémarrage, même timide, de l’activité en Chine pourrait aider les autres économies asiatiques à se stabiliser. Avec à la clé des opportunités pour les investisseurs à long terme.
- À la faveur du déconfinement, la plupart des entreprises chinoises ont repris le travail et les indicateurs clés retrouvent progressivement les niveaux d’avant la pandémie
- Un redémarrage même timide de l’économie chinoise devrait favoriser des reprises similaires dans les autres économies asiatiques lorsqu’elles auront passé le pic de la crise
- L’impact économique de la pandémie n’étant pas encore complètement connu, les investisseurs doivent faire preuve de prudence et se montrer sélectifs
- Les investisseurs à long terme qui peuvent conserver leurs positions pourraient trouver des opportunités sur les marchés d’Asie émergente, lesquels affichent des valorisations prometteuses