Phase 3 : un nouveau chapitre de l’épopée de la Chine

par Virginie Maisonneuve | 15.10.2021
Phase 3 : un nouveau chapitre de l’épopée de la Chine

Résumé

Pour bien comprendre les évolutions actuelles de la Chine, il faut avoir à l’esprit que le pays met désormais l'accent non seulement sur son pouvoir économique, mais aussi sur son « soft power », son pouvoir de persuasion et d'influence. La priorité pour les investisseurs, c’est donc de savoir où et comment ces priorités stratégiques se transformeront en opportunités.


Télécharger l’article ici
Télécharger le PDF


Pour bien comprendre les évolutions actuelles de la Chine, il faut avoir à l’esprit que le pays met désormais l’accent non seulement sur son pouvoir économique, mais aussi sur son « soft power », son pouvoir de persuasion et d’influence. La priorité pour les investisseurs, c’est donc de savoir où et comment ces priorités stratégiques se transformeront en opportunités.

Les investisseurs du monde entier ont été déroutés par l’avalanche de mauvaises nouvelles en provenance de la Chine ; celles-ci doivent cependant être replacées dans un contexte plus large. Cette année marque le 100e anniversaire de la création du Parti communiste chinois, et la Chine semble être en train de s’interroger sur elle-même. Le pays a réaffirmé son engagement, non seulement à poursuivre sur la lancée de sa réussite économique, mais aussi à s’attaquer à une série de problèmes divers. Dans ce cadre, il s’agira notamment de répondre aux préoccupations sociales engendrées par les inégalités, de mener la lutte contre les monopoles, et de limiter la remise en cause des centres traditionnels du pouvoir. Ces efforts que vont mener les autorités chinoises ne manqueront pas de générer une certaine volatilité sur les marchés ; tous s’inscrivent cependant dans une nouvelle phase de l’évolution de la Chine, qui est en train de se repositionner sur la scène mondiale. Le pays devrait ainsi continuera à utiliser sa puissance économique pour se hisser jusqu’aux premières places mondiales, mais également commencer à déployer son “soft power” fondé sur l’attractivité et l’influence. À quoi doivent donc s’attendre les investisseurs ? La Chine va probablement poursuivre dans sa propre voie de développement hybride, qui vise à la rendre autosuffisante tout en faisant d’elle l’un des tout premiers leaders dans le domaine des technologies de pointe. Ceci étant, la Chine voudra aussi continuer à interagir avec le reste du monde et à maintenir le succès de ses marchés financiers ; elle pourrait ainsi coopérer avec d’autres puissances mondiales, afin de relever conjointement des défis communs – notamment le changement climatique – d’une manière qui lui permette d’ajouter un nouveau chapitre flatteur à l’histoire du pays.

Les trois phases de la transformation de la Chine

Pour déterminer la direction qu’est en train de prendre la Chine, il est utile d’examiner le chemin que le pays a parcouru en (très) peu de temps. On peut diviser ce parcours en trois phases distinctes :

  • La phase 1 a véritablement commencé il y a 20 ans, avec l’adhésion de la Chine à l’Organisation mondiale du commerce (OMC). En décidant de respecter les règles de l’OMC et en s’engageant dans des réformes économiques, la Chine est rapidement devenue un maillon essentiel de la chaîne d’approvisionnement mondiale, gagnant le surnom “d’usine globale”. En conséquence, les investissements directs étrangers dans le pays ont fait un bond, qui sont passés de 47 Md USD en 2001 à 163 Md USD en 2020 (source : CNUCED).
  • La phase 2 a débuté lorsque la Chine a supplanté le Japon en tant que deuxième économie globale en 2010, après la crise financière mondiale. En dépassant un pays réputé pour ses technologies de pointe, la Chine est passée du statut de fabricant de produits bon marché à celui de leader de la haute technologie, progressant de fait toujours plus avant dans la chaîne de valeur. C’est également au cours de la phase 2 que la Chine a commencé à intégrer ses marchés financiers au sein du système mondial – par exemple, avec les programmes Stock Connect et Bond Connect qui ont permis aux investisseurs étrangers d’accéder plus facilement aux marchés chinois. Plus récemment, les actions chinoises ont été ajoutées à plusieurs indices actions mondiaux parmi les plus importants. Cette évolution témoigne de la place grandissante de la Chine sur les marchés globaux ; cependant, malgré ce, le pourcentage alloué aux actifs Chinois par ces indices de référence continue de sous-estimer l’influence du pays sur la scène mondiale
  • La phase 3 constitue la partie la plus récente du parcours de transformation de la Chine. Le président Xi Jinping est aujourd’hui à la tête d’une économie qui devrait dépasser les États-Unis en tant que première économie mondiale d’ici 2029. La gestion par la Chine de la pandémie de Covid-19 a donné un remarquable coup de fouet à son activité, même si la croissance générale du pays devrait désormais s’avérer plus lente que ces dernières années. Toutefois, cette phase sera sans doute la plus difficile à réussir pour la Chine : cette dernière se retrouve en effet à marcher sur la corde raide, devant à la fois gérer sa puissance économique, se concentrer sur sa nouvelle mission en termes d’égalité sociale et affiner ses compétences en matière de “soft power”. Le système politique de la Chine, combiné à sa stature économique nationale et internationale, rendra cet exercice d’équilibre particulièrement difficile, tant pour elle-même que pour le reste du monde. Et pourtant, la réussite de la Chine sera essentielle pour la stabilité mondiale au cours des dix prochaines années.

Les composantes économiques et sociales de la phase 3

Le fondement de la phase 3 est la poursuite de la réussite économique du pays. Pour y parvenir, la Chine doit préserver sa prospérité et sa croissance économiques tout en maintenant à distance les tensions géopolitiques globales qui pourraient l’affecter. Le pays avait peut-être espéré que les sanctions américaines introduites par le précédent président, Donald Trump, seraient levées par son successeur, mais le président Joe Biden s’est montré tout aussi intransigeant que son prédécesseur ; l’unique différence, c’est qu’il ne fait pas de sorties virulentes sur le sujet. Au cœur des tensions entre les États-Unis et la Chine se trouve avant tout un “darwinisme digital” de longue haleine, une course à la domination mondiale qui s’étend sur plusieurs décennies et qui repose sur l’intégration de la technologie et de l’intelligence artificielle dans un monde menacé par le changement climatique.

Alors que les relations américano-chinoises se dégradent et que les sanctions se multiplient, menaçant la place même de la Chine dans le monde, la stratégie de “double circulation” mise en œuvre par cette dernière prend de plus en plus d’importance. Cette stratégie prévoit en effet une augmentation des dépenses de consommation des Chinois afin de réduire la dépendance de la Chine à l’égard du commerce extérieur, tout en promouvant la capacité de production du pays dans le monde et en réduisant ses vulnérabilités de manière systématique.

Il est intéressant de noter que la Chine pourrait passer d’un modèle de croissance de type américain – alimenté principalement par les services et la consommation – à un modèle plus équilibré, comme celui de l’Allemagne ou du Japon. Dans ce dernier modèle, la politique industrielle est un moteur essentiel de la croissance à long terme. Si la Chine s’avère en mesure de poursuivre le renforcement de ses capacités de production de haute technologie, elle pourrait alors remédier à certaines de ses vulnérabilités les plus évidentes, dans un monde où les tensions commerciales limitent la possibilité de transférer des technologies d’un pays ou d’une entité à une autre. Une telle évolution devrait aussi contribuer à porter l’innovation chinoise à un niveau supérieur : les domaines prioritaires comprendraient probablement ici les semi-conducteurs, pour lesquels la Chine consomme 35 % de l’offre mondiale mais n’en fabrique que 10 %. Des “champions nationaux” devraient également émerger, des entreprises capables de soutenir le remplacement des importations et de renforcer l’avantage concurrentiel mondial de la Chine. Dans ce cadre, les capacités qui favorisent la sécurité nationale, les données, l’innovation et le progrès technologique seraient privilégiées.

L’autre composante de la phase 3 de la Chine, c’est un regain d’intérêt pour les questions sociales, et ce de façon très cohérente avec son système communiste. La Chine redouble ainsi d’efforts pour promouvoir une croissance plus équitable et plus durable, et pour projeter une vision positive du pays dans le monde ; c’est en effet dans ce domaine que la Chine a fait l’objet de gros titres peu flatteurs, qui n’ont fait qu’accroître la volatilité des marchés.

  • La Chine tente de “repenser” son secteur éducatif, en essayant notamment de réformer une culture qui met une pression écrasante sur les étudiants pour qu’ils obtiennent les meilleurs résultats possibles. Les coûts et le stress liés à l’éducation sont montés en flèche ces dernières années, exacerbant les inégalités sociales tout en ne produisant pas le type d’étudiants dont le pays aura besoin à l’avenir. Les autorités chinoises ont ainsi pris des mesures dans le but de rétablir un équilibre plus sain.
  • La Chine est également en train de revoir les “règles du jeu” au sein de son secteur technologique. Cette évolution résulte de la prise de conscience de l’importance stratégique des données dans un monde où “l’Internet des objets”, alimenté par l’intelligence artificielle, est devenu un enjeu majeur ; elle est aussi une réponse au succès de ce secteur, qui a engendré de nouveaux centres du pouvoir et de nombreux milliardaires : les autorités chinoises ne voudraient pas en effet que, à terme, la “voie chinoise” existante et ses centres traditionnels du pouvoir soient remis en question.

Les détracteurs de la Chine doivent prendre du recul

Au-delà des inquiétudes suscitées par les répercussions que peuvent avoir sur les marchés les actions des autorités chinoises, il convient de faire quelques rappels importants :

  • Alors que de nombreux Occidentaux ont exprimé leur consternation face à la récente répression menée par la Chine au sein de son secteur technologique, il ne faut pas oublier que les grandes entreprises technologiques sont également dans le collimateur d’autres États dans le monde. Les autorités des États-Unis, de la Chine et de nombreux pays d’Europe s’attaquent ainsi aux pratiques anticoncurrentielles présumées de ce secteur, car elles souhaitent favoriser un développement “ordonné” du monde du “Web 3.0”. La Chine voit donc là une action essentielle pour préserver son influence mondiale ainsi que son ordre intérieur.
  • Le gouvernement chinois a favorisé le succès de ses marchés financiers pendant de nombreuses années ; il serait de fait assez surprenant qu’il s’apprête à tuer la “poule aux œufs d’or”.

S’inquiéter du fait que l’accent nouvellement mis sur la gouvernance sociale et économique puisse nuire à la croissance, c’est aussi passer à côté de l’un des points les plus fondamentaux : la prochaine phase de l’émergence de la Chine sur la scène mondiale dépendra autant de son « soft power » que de sa puissance économique – les deux coexistant en symbiose – car le pays cherche désormais à s’engager sur une voie plus durable.

Le changement climatique crée une opportunité majeure de coopération internationale

Il n’y a peut-être pas de meilleure occasion que le changement climatique pour la Chine d’ajouter un nouveau chapitre flatteur à son histoire. Le récent rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat décrit une planète au bord de la catastrophe si aucune mesure décisive n’est prise. La Chine s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de décarbonisation, mais il ne sera pas facile pour elle de les atteindre car les économies émergentes sont souvent très dépendantes des combustibles fossiles. L’hypothèse de la “courbe environnementale de Kuznets” offre toutefois un certain réconfort : selon cette dernière, à mesure que l’économie d’un pays se développe, son environnement se dégrade en général jusqu’à ce que le pays atteigne un revenu moyen spécifique ; une fois ce point dépassé cependant, le capital peut alors être réinvesti dans l’environnement et l’écosystème progressivement restauré.

Alors qu’ils sont les deux plus grands émetteurs de gaz à effet de serre au monde, les États-Unis et la Chine doivent coopérer pour élaborer et appliquer des solutions efficaces. En effet, la Chine est un partenaire indispensable dans la lutte contre le changement climatique. La déclaration conjointe des États-Unis et de la Chine d’avril 2021 est ainsi de bon augure : l’envoyé américain pour le climat, John Kerry, et son homologue chinois, Xie Zhenhua, se sont engagés à travailler ensemble pour renforcer la mise en œuvre de l’accord de Paris. Peut-être que l’urgence climatique sera le cri de ralliement mondial qui favorisera une certaine stabilité géopolitique et une dynamique de coopération à un moment où le monde est en pleine mutation ?

Quelles sont les implications pour les investisseurs ?

Pour les investisseurs désireux de mieux comprendre les changements actuellement à l’œuvre en Chine, il est fondamental de savoir d’où vient le pays et comment ses priorités évoluent. Ce principe vaut d’ailleurs également pour la sélection des actions. Si l’analyse “bottom-up” demeure ici essentielle, la compréhension du contexte au sens large (notamment les facteurs qui déterminent la politique intérieure, dans le cadre d’une organisation politique complexe et à multiples niveaux) s’avère cruciale pour la Chine, peut-être plus d’ailleurs que pour tout autre pays. Cette compréhension permettra en effet aux investisseurs de savoir où et comment les priorités stratégiques du pays se transformeront en opportunités.

Bien s’orienter ne sera pas chose aisée : les marchés financiers chinois ont toujours été volatils, avec de fortes fluctuations à la hausse comme à la baisse – et il est peu probable que cela change. Les États-Unis et la Chine vont par ailleurs s’affronter dans une course “darwinienne” au leadership digital, où la combinaison de vastes quantités de données disponibles et de l’intelligence artificielle créera de nouvelles sources de pouvoir. Et, plus près de nous, les “champions nationaux” de la Chine évolueront au fil du temps, à mesure que la Chine ajustera ses priorités sociales.

Une gestion active nous paraît ici essentielle, à la fois pour s’orienter valablement dans cet environnement et pour exploiter sa volatilité – inévitable – dans la construction de positions judicieuses. Par exemple, il existe selon nous des opportunités dans les secteurs liés au besoin stratégique d’autosuffisance de la Chine (semi-conducteurs), à son cycle de modernisation industrielle (utilisation accrue de la robotique) et aux entreprises concernées par les objectifs de la Chine en matière d’émissions de carbone (énergies renouvelables et chaîne d’approvisionnement des véhicules électriques). L’utilisation d’instruments passifs pour investir en Chine ne sera probablement pas suffisante, étant donné la nécessité d’investir sur ce marché à un niveau plus approfondi.

Surtout, les investisseurs qui accepteront l’idée que la volatilité sera une caractéristique durable des marchés chinois seront aussi ceux qui saisiront le mieux la vision à long terme du pays : celle d’un acteur central sur la scène mondiale.

Neuf choses à savoir sur les marchés obligataires chinois

22.10.2021

Résumé

Les marchés obligataires chinois sont traditionnellement sous-investis par les investisseurs étrangers, mais les choses changent. Les réformes continues, l'internationalisation croissante de la devise et des rendements attrayants se traduisent par un important afflux de capitaux. Lisez ces neuf conseils pour bien comprendre les bases de l'investissement sur le marché obligataire chinois.

  • Investing involves risk. The value of an investment and the income from it will fluctuate and investors may not get back the principal invested. Past performance is not indicative of future performance. This is a marketing communication. It is for informational purposes only. This document does not constitute investment advice or a recommendation to buy, sell or hold any security and shall not be deemed an offer to sell or a solicitation of an offer to buy any security.

    The MSCI China Index captures large- and mid-cap companies in China’s equity markets. The MSCI Europe Index represents the performance of large and mid-cap equities across 15 developed countries in Europe. The MSCI All Country World Index (ACWI) is designed to represent large- and mid-cap stocks across 23 developed and 27 emerging markets. Past performance is not indicative of future performance. Investors cannot invest directly in an index.

    The views and opinions expressed herein, which are subject to change without notice, are those of the issuer or its affiliated companies at the time of publication. Certain data used are derived from various sources believed to be reliable, but the accuracy or completeness of the data is not guaranteed and no liability is assumed for any direct or consequential losses arising from their use. The duplication, publication, extraction or transmission of the contents, irrespective of the form, is not permitted.

    This material has not been reviewed by any regulatory authorities. In mainland China, it is used only as supporting material to the offshore investment products offered by commercial banks under the Qualified Domestic Institutional Investors scheme pursuant to applicable rules and regulations. This document does not constitute a public offer by virtue of Act Number 26.831 of the Argentine Republic and General Resolution No. 622/2013 of the NSC. This communication's sole purpose is to inform and does not under any circumstance constitute promotion or publicity of Allianz Global Investors products and/or services in Colombia or to Colombian residents pursuant to part 4 of Decree 2555 of 2010. This communication does not in any way aim to directly or indirectly initiate the purchase of a product or the provision of a service offered by Allianz Global Investors. Via reception of his document, each resident in Colombia acknowledges and accepts to have contacted Allianz Global Investors via their own initiative and that the communication under no circumstances does not arise from any promotional or marketing activities carried out by Allianz Global Investors. Colombian residents accept that accessing any type of social network page of Allianz Global Investors is done under their own responsibility and initiative and are aware that they may access specific information on the products and services of Allianz Global Investors. This communication is strictly private and confidential and may not be reproduced. This communication does not constitute a public offer of securities in Colombia pursuant to the public offer regulation set forth in Decree 2555 of 2010. This communication and the information provided herein should not be considered a solicitation or an offer by Allianz Global Investors or its affiliates to provide any financial products in Brazil, Panama, Peru, and Uruguay. In Australia, this material is presented by Allianz Global Investors Asia Pacific Limited (“AllianzGI AP”) and is intended for the use of investment consultants and other institutional/professional investors only, and is not directed to the public or individual retail investors. AllianzGI AP is not licensed to provide financial services to retail clients in Australia. AllianzGI AP (Australian Registered Body Number 160 464 200) is exempt from the requirement to hold an Australian Foreign Financial Service License under the Corporations Act 2001 (Cth) pursuant to ASIC Class Order (CO 03/1103) with respect to the provision of financial services to wholesale clients only. AllianzGI AP is licensed and regulated by Hong Kong Securities and Futures Commission under Hong Kong laws, which differ from Australian laws.

    This document is being distributed by the following Allianz Global Investors companies: Allianz Global Investors U.S. LLC, an investment adviser registered with the U.S. Securities and Exchange Commission; Allianz Global Investors Distributors LLC, distributor registered with FINRA, is affiliated with Allianz Global Investors U.S. LLC; Allianz Global Investors GmbH, an investment company in Germany, authorized by the German Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht (BaFin); Allianz Global Investors (Schweiz) AG; Allianz Global Investors Asia Pacific Ltd., licensed by the Hong Kong Securities and Futures Commission; Allianz Global Investors Singapore Ltd., regulated by the Monetary Authority of Singapore [Company Registration No. 199907169Z]; Allianz Global Investors Japan Co., Ltd., registered in Japan as a Financial Instruments Business Operator [Registered No. The Director of Kanto Local Finance Bureau (Financial Instruments Business Operator), No. 424, Member of Japan Investment Advisers Association and Investment Trust Association, Japan]; and Allianz Global Investors Taiwan Ltd., licensed by Financial Supervisory Commission in Taiwan.

Allianz Global Investors

Vous quittez le site Allianz Global Investors pour aller sur

Bienvenue sur le site d’ALLIANZ GLOBAL INVESTORS dédié à la succursale France

Sélection du profil
  • Distribution Allianz
  • Investisseurs particuliers
  • Investisseurs professionnels
  • Vous vous connectez à ce site en tant que Professionnel au sens de la directive MIF. Vous devez avoir l’expérience et la connaissance requise en matière d’investissement notamment quant aux risques encourus pour accéder à ce site.

    Si vous n’êtes pas «professionnel», vous êtes invité à quitter cette page et à vous reconnecter sur la page «particuliers» du site ALLIANZ GLOBAL INVESTORS

    US Persons : les informations figurant sur ce site ne s’adressent pas aux ressortissants et citoyens des Etats-Unis d’Amériques ou aux US persons tel que défini par la « Regulation S » de la Securities and Exchange Commission en vertu de la Security Act de 1933.
    Ce site a uniquement pour objet de fournir des informations sur ALLIANZ GLOBAL INVESTORS et les produits autorisés à la commercialisation en France. Les informations présentes sur ce site ne constituent pas une offre de vente ou de souscription d’un instrument financier.
    Les informations, avis et opinions exprimés sur ce site sont susceptibles d’évoluer et d’être modifiés à tout moment et sans préavis.

    Votre accès est soumis à la règlementation française en vigueur et aux mentions légales et conditions générales d’accès a ce site.

    En choisissant d’accéder à notre site, vous reconnaissez avoir pris connaissance de ces Conditions et les avoir acceptées. Nous vous conseillons, dans votre intérêt, de les lire attentivement.

Veuillez cocher la case pour accepter les conditions générales.